Véran et Castex, démission!
Syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! »
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Objet : ERL ! exige la démission du ministre Olivier Véran, du premier ministre Jean Castex et le retrait total du projet de loi de « vigilance sanitaire »
C’est une nuit profonde pour la démocratie française. Ce 4 novembre 2021, à 3h du matin, pendant que la plupart des Françaises et des Français dormaient tranquillement, l’Assemblée Nationale a voté les pleins pouvoirs pour le président Emmanuel Macron, en prolongeant le passe prétendument « sanitaire » jusqu’à la fin de juillet 2022, avec 147 voix pour, 125 voix contre et 2 abstentions. C'est-à-dire 274 sur un total de 577 députés qui, en principe, ont été élus et grassement payés pour représenter la Nation. Mais 303 d’entre eux, donc plus de la moitié de celles et ceux censés nous représenter avaient des choses plus urgentes à faire à minuit que de venir trancher sur ce problème crucial qui affecte la vie de la Nation française. De sorte que cette loi n’a été votée que par moins d’un quart des députés, à une différence de seulement 22 voix face à une résistance résolue. Aucune association ne peut prendre la moindre mesure si elle ne réunit un quorum minimum. Mais, montrant mauvais exemple, l’Assemblée Nationale valide l’abstentionnisme massif qu’elle reproche aux Français et peut passer des lois avec à peine un quart de voix favorables. Il va sans dire qu’une loi produite par une machine législative aussi défectueuse n’a aucune représentativité et que, malgré son vernis de légalité, elle est dépourvue de toute légitimité. Car personne n’oublie qu’au dernier scrutin des élections régionales, du 26 juin 2021, cette prétendue « majorité » avait enregistré les pires scores d'un parti au pouvoir, recueillant piteusement seulement 7,1 % des voix, dans les conditions d’une abstention historique de 66 %. Selon les normes de la démocratie française, le gouvernement Jean Castex aurait dû alors démissionner, ou du moins ses nombreux ministres battus sur les terrain, car il devenait évident que LREM n’était plus qu’un parti lilliputien. Mais, pour effacer cet honteux désaveu infligé par les « Gaulois réfractaires », le président Emmanuel Macron avait alors choisi, tel César, l’épreuve de force, en se vengeant contre la Nation par son discours tyrannique du 12 juillet 2021 et l’incarcération du peuple français dans ce confinement allégé qu’est le système du passe prétendument « sanitaire ».
L’issue de cette démocratie de nuit est d’autant plus contestable qu’après l’échec de la commission mixte paritaire, la machine à voter de cette supposée « majorité » d’un quart des députés avait rejeté tous les compromis avancés par le Sénat, qui n’a pas eu le courage d’une ferme opposition, sous la pression incroyable du premier ministre Jean Castex, qui avait exigé impérieusement de « ses » députés de lui donner « tous les outils », c’est-à-dire tous les pouvoirs, immixtion de l’exécutif qui montre un brutal mépris pour le Parlement et pour l’opposition. D’autant plus que la « majorité » lilliputienne a conféré tous les pouvoirs au président sortant… jusqu’en juillet 2022, comme s’il n’y avait pas des élections présidentielles et législatives prévues l’année prochaine. Comme si sa réélection était déjà actée, une simple formalité. Ce mépris pour les règles de la démocratie française est historique et sans précédent : c’est l’aboutissement du « coup d’État permanent » par lequel Emmanuel Macron s’efforce à « démonter l’État de droit »[1].
Notre pays traverse un moment politique d’autant plus inédit que cette grave crise politique se superpose à une crise hospitalière de grandes proportions. Nous avons d’un côté un gouvernement qui viole les règles démocratiques les plus élémentaires et se conduit avec une grande brutalité contre les élus de la Nation, à la fois de l’opposition et même de la majorité présidentielle, appelée à coup de bâtons par le premier ministre à voter selon la discipline de parti et à faire taire les voix dissidentes. La séparation des pouvoirs dans notre République n’a jamais été à tel point malmenée depuis la seconde guerre mondiale. Et de l’autre côté nous avons le même gouvernement qui se montre absolument incapable de faire quoi que ce soit pour arrêter l’effondrement de l’hôpital par des mesures constructives, et cela malgré les milliards d’euros mobilisés pendant la crise sur une dette nationale déjà abyssale. À la place de cette gestion calamiteuse, la seule mesure instaurée avec une précision millimétrée a été un passe socio-économique d’inspiration totalitaire chinoise, dont notre syndicat a déjà dénoncé l’inefficacité et le caractère de surveillance généralisée qui marque une rupture radicale avec les valeurs de la République Française – Liberté, Egalité et Fraternité. Ces deux axes se superposent : le désastre de l’hôpital public fait ainsi apparaître en plein jour l’incompétence du gouvernement et le caractère complètement démesuré et inapproprié de ses mesures autoritaires et de sa conduite brutale envers les élus de la Nation.
Concrètement, le syndicat enseignant ERL !, constate :
Que 5700 lits d’hôpitaux ont été supprimés en 2020, en pleine pandémie[2]. Loin de s’arrêter, ce processus s’est accéléré au cours du premier trimestre 2021, avec 1.800 lits supplémentaires[3].
Que plusieurs dizaines de milliers de personnels hospitaliers ont été purement et simplement mis à la porte depuis le 15 septembre dernier au prétexte qu’ils n’auraient pas accepté de subir la vaccination obligatoire décrétée par le gouvernement[4].
Qu’en conséquence de cette exécrable gestion des ressources humaines, l’hôpital manque cruellement de personnel et de moyens, au point d’être au bord de l’effondrement[5]. Le caractère sans précédent de cette pénurie humaine fait que des opérations ne peuvent avoir lieu et que du « tri » est effectué aux urgences pédiatriques[6].
Que dès le 5 octobre 2021, le conseil scientifique présidé par le professeur Jean-François Delfraissy avait tiré la sonnette d’alarme, avertissant que 20 % des lits des hôpitaux publics en France étaient fermés en raison de l’épuisement des soignants[7]. Etrangement, il a fallu attendre la publication, le 27 octobre 2021 de la grande enquête de Libération pour que les dimensions de ce désastre sanitaire apparaissent au grand jour[8].
Que, devant ce désastre pointant les carences graves de sa gestion, le ministre de la santé est entré en plein déni des réalités, contestant les chiffres, devant le Parlement, et commandant d’autres études, ce qui non seulement revenait à nier la compétence de son propre Conseil scientifique, mais révélait sa profonde méconnaissance du domaine de la santé qui est pourtant de son ressort[9].
Que toutes ces libertés prises avec la vérité n’ont rien d’anodin, car leur contexte est la discussion acerbe du projet de loi « vigilance sanitaire » au Sénat. Confronté avec le manque de sincérité et de transparence flagrant du ministre de la santé, le sénateur Pierre Laurent lui a demandé des comptes à rendre, sollicitant du gouvernement un rapport sur ce sujet critique.
Toutefois, ce n’est pas au gouvernement qu’il fallait demander un tel rapport, mais à une instance indépendante. Car ce n’est pas la première fois que le ministre de la santé colporte de fausses informations et des données contradictoires, affaiblissant ainsi la valeur de la parole publique et la confiance de la population envers les actes et les paroles de l’exécutif.
D’une longue liste, rappelons seulement quelques exemples parmi les plus flagrants :
En mars 2020, selon le ministre de la santé, les masques en population générale ne servaient à rien[10], alors qu’en juillet 2020 ils devenaient obligatoires et le fait d’omettre d’en porter un devenait passible d’amende à hauteur de 135 euros[11].
Le 26 mai 2020, il décidait d’arrêter l’utilisation de l’hydroxychloroquine dans le traitement de la Covid-19[12], sur la base d’une étude publiée dans la revue The Lancet[13]. Pourtant, face à la levée de boucliers des scientifiques du monde entier, cette étude, comme une autre publiée par la même équipe, s’est révélé une fraude scientifique de taille et a été retirée par la revue (affaire de corruption scientifique restée dans l’histoire de la science sous le nom du Lancetgate)[14]. En revanche, la décision actée par Olivier Véran sur la base de cette fraude est restée quant à elle en vigueur jusqu’à présent. Cette affaire fait long feu car, curieusement, c’est un des critiques de cette fraude intellectuelle, le prof. Didier Raoult et non ceux qui l’ont promue, qui se trouvera convoqué par la chambre disciplinaire de l'Ordre des médecins le 5 novembre 2021.
En juin 2021, le ministre de la santé, promoteur par excellence de la stratégie du tout vaccinal du gouvernement, sans considération de la balance risques-bénéfices pour les patients, affirmait que les vaccins n’étaient plus en phase expérimentale, alors que, contacté par Le Monde, le laboratoire Pfizer réaffirmait que son « essai de phase 3 se poursuit »[15].
En octobre 2021, le ministre de la santé récidivait, affirmant qu’il n’y aurait pas d’effets secondaires indésirables des vaccins, allégations anéanties immédiatement par la vérification du Parisien[16]. En même temps, les remontées de pharmacovigilance en France, en Europe et dans le monde démontrent le contraire : les victimes du vaccin anti-Covid 19 sont nombreuses et suffisantes pour qu'une députée du Parlement européen propose que l’Union Européenne prévoie un Fonds européen d’indemnisation des victimes des «vaccins contre la COVID-19»[17].
Tout en réaffirmant l’importance des vaccins dans une stratégie globale de lutte contre la Covid-19, notre syndicat insiste sur l’importance de l’approche scientifique, non-idéologique et surtout non-politisée de la vaccination, qui relève de la santé de chaque personne et de la relation entre le médecin et son patient, et qu’aucun parti et surtout aucun homme politique ne peut confisquer au service d’un projet politique ou, encore pis, électoraliste. On ne peut pas approcher aveuglément cette question, au risque d’affronter de nouveaux scandales sanitaires comme ceux qui ont marqué par le passé l’histoire des géants de l’industrie pharmaceutique. Le nouveau débat qui commence à émerger autour de la publication, dans The British Medical Journal des informations d’un lanceur d’alerte sur les conditions impropres du déroulement des essais de phase 3 d’un des vaccins utilisé actuellement en France montre l’importance de la prudence et de la totale transparence que doit adopter toute politique sanitaire officielle dans des contextes épidémiques comme celui que nous traversons[18].
Ainsi, le mensonge du ministre Olivier Véran devant les sénateurs, confronté aux révélations de Libération et s’opposant même aux résultats de son propre Conseil scientifique, n’est que la goutte qui fait déborder le vase déjà plein d’une carrière ministérielle problématique. Aucun ministre n’a jamais autant donné de travail aux « décodeurs » de la presse nationale. Or, à ce niveau décisionnel, les mensonges ne sont pas anodins, car ils se transforment en mensonges d’Etat, alimentant une pratique toxique du pouvoir public et générant en chaîne des effets ravageurs sur le monde de la santé et, partant, sur la société entière. Il est vrai qu’à long terme, l’effondrement de l’hôpital public, jadis le plus efficace au monde, est le résultat d’une accumulation de mauvaises pratiques qui ont voulu transformer l’hôpital public en entreprise (remontant jusqu’à la mise en place par M. Jean Castex de la tarification à l’activité – T2A – en 2005)[19]. Toutefois, ce déclin a été depuis deux ans particulièrement accéléré suite aux actes inconsidérés de l’actuel ministre de la santé, à ses postures et déclarations intempestives (comme lorsqu’il cria, à l’Assemblée nationale, le 3 novembre 2020 aux députés qui osaient le critiquer : « Sortez d’ici ! », oubliant que c’était lui l’invité dans la maison des élus de la Nation!)[20].
Pour revenir à notre interrogation initiale, cette conduite totalement chaotique du ministre de la santé s’inscrit dans le contexte où le premier ministre, après avoir refusé tout compromis raisonnable avec le Sénat, entend faire passer encore une fois en force, avec une brutalité inouïe, dénoncée par plusieurs élus, le projet de loi de « vigilance sanitaire ». Mais comment le gouvernement Jean Castex – dont l’incompétence grave a mené au désastre actuel de l’hôpital – peut-il couvrir les effets dévastateurs de sa politique pour asséner à toute la société française huit mois de plus d’état d’urgence, de contrôle social et, de ce fait, de futurs abus commis contre les citoyens ? Comment cet exécutif, incapable d’élaborer des mesures constructives de redressement de l’hôpital, ose-t-il exiger des représentants de la Nation les pleins pouvoirs pour gérer chaotiquement cette crise sanitaire jusqu’au bout, alors que son incompétence est désormais manifeste ?
Comme nous l’avons amplement démontré dans nos lettres ouvertes d’analyse envoyées aux députés[21] et aux sénateurs[22], le passe que le gouvernement Castex s’apprête à prolonger illégalement après le 15 novembre 2021 n’a rien de sanitaire : ce n’est qu’un passe(port) socio-économique d’inspiration totalitaire chinoise, dont le but est l’instauration d’une surveillance généralisée de la société française, et ceci en pleine année électorale. Comme l’ont souligné même des membres de la majorité, sincèrement attachés aux valeurs de la République, par exemple le député Pacôme Rupin, accepter de donner au premier ministre Jean Castex les pleins pouvoirs pour prolonger l’état d’urgence reviendrait à fouler aux pieds tous les engagements de la majorité présidentielle (et même ceux du président) en avril 2021 de ne pas appliquer ce passe aux activités quotidiennes et, en juillet 2021, de ne pas prolonger cette violation des libertés les plus élémentaires au-delà du 15 novembre.
Or, l’effondrement de l’hôpital public, avec les drames humains et les pertes de vie que cela génère, enlève au gouvernement toute légitimité pour demander un tel sacrifice des valeurs de la République Française. Concrètement, l’échec patent de la politique dans le domaine de la santé du ministre Olivier Véran prouve définitivement le manquement grave du gouvernement Jean Castex à ses obligations, malgré ses emportements devant les élus de la Nation[23].
Car pourquoi le personnel manque, alors que « les budgets sont là, les postes sont ouverts mais ils ne sont pas pourvus » ?
Le premier ministre fait mine d’oublier que c’est le licenciement d’au moins 16.000 soignants (chiffre sous-estimé) qui a produit le départ massif des personnels, épuisés par l’effort demandé et le peu de considération morale et matérielle montré par le ministre de ressort, et par le gouvernement en général.
Ainsi, le cadre du passe « sanitaire » et la vaccination obligatoire imposés par la loi du 5 août 2021 ne cessent de générer des effets dévastateurs.
Force est donc de constater que c’est la tentative d’asservir le Parlement aux objectifs de l’exécutif et l’emprisonnement du peuple français dans la cage numérique du passe socio-économique prétendument « sanitaire » qui ont mené inéluctablement à l’effondrement de l’hôpital public.
La politique du gouvernement Castex a porté les fruits toxiques que l’on avait annoncés en juillet 2021.
C’est pourquoi, afin d’éviter que la crise de l’hôpital public et celle de la démocratie française ne s’aggrave encore davantage, le premier ministre n’a que peu de choix :
abandonner sa quête de pleins pouvoirs et demeurer modestement dans le cadre existant, mettant fin au passe socio-économique totalitaire ce 15 novembre 2021 ;
acter la démission du responsable direct, le ministre Olivier Véran ;
ou mieux : assumer sa propre responsabilité et présenter la démission en bloc de son gouvernement, permettant ainsi la formation d’un nouveau gouvernement de transition jusqu’aux prochaines élections.
Autrement, la démocratie de la nuit inventée par LREM mènera à la nuit finale de la République française. Car le sommeil de la Nation engendre des monstres.
Paris – Aix-en-Provence – Bordeaux – Poitiers
4 novembre 2021
***
[1] « Prolongation du pass sanitaire : Emmanuel Macron ou «le coup d’État permanent», Libération, 22 octobre 2021, https://www.liberation.fr/idees-et-debats/opinions/prolongation-du-pass-sanitaire-emmanuel-macron-ou-le-coup-détat-permanent-20211022_O5QZQOXHZRAL3D67QCY4AKZLKE/ .
[2] « En plein Covid, 5.700 lits d'hôpital ont été supprimés en 2020 », La Tribune, 29 sept. 2021 : https://www.latribune.fr/economie/france/en-plein-covid-5-700-lits-d-hopital-ont-ete-supprimes-en-2020-893296.html.
[3] « Hôpitaux : 1.800 lits supprimés en trois mois, Force ouvrière accuse le gouvernement », Capital, 21 juin 2021 : https://www.capital.fr/economie-politique/hopitaux-1800-lits-supprimes-en-trois-mois-force-ouvriere-accuse-le-gouvernement-1407120.
[4] « Covid : toujours 130.000 soignants non-vaccinés malgré l'obligation », Les Echos, 20 oct. 2021, https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/covid-toujours-130000-soignants-non-vaccines-malgre-lobligation-1356527.
[5] « Le modèle hospitalier français au bord de l’effondrement », France News Live, 29 oct. 2021, https://francenewslive.com/le-modele-hospitalier-francais-au-bord-de-leffondrement/460079/
[6] « Lits fermés à l’hôpital : un collectif dénonce la situation «catastrophique» en pédiatrie », Le Parisien, 28 oct. 2021, https://www.leparisien.fr/societe/sante/lits-fermes-a-lhopital-un-collectif-denonce-la-situation-catastrophique-en-pediatrie-28-10-2021-LAOVJGMK5ZHCPAMLE7TDNE5BPI.php.
[7] Jean-François Delfraissy et alii, Avis du Conseil scientifique COVID-19, Une situation apaisée : quand et comment alléger, 5 oct. 2021, Annexe 3, p. 29-30 : https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/avis_conseil_scientifique_5_octobre_2021.pdf
[8] « Hôpital public : 20% de lits fermés faute de soignants », Libération, 27 oct. 2021, https://www.liberation.fr/societe/sante/hopital-public-20-de-lits-fermes-faute-de-soignants-20211026_VG7R2S3SXRGCRAPLRXCTYEVYAY/
[9] « Plutôt 5% ou 20% ? Imbroglio autour des chiffres des fermetures de lits dans les hôpitaux », LCI, 28 oct. 2021, https://www.lci.fr/sante/fermetures-de-lit-dans-les-hopitaux-imbroglio-autour-des-chiffres-entre-olivier-veran-et-jean-francois-delfraissy-2200336.html.
[10] « Coronavirus: quand le gouvernement français déconseillait le port de masques », AFP, 7 avril 2020, https://www.dailymotion.com/video/x7sh6ng.
[11] « Coronavirus : Olivier Véran confirme que le port du masque sera obligatoire dans les lieux publics clos dès lundi », Le Monde, 18 juillet 2020, https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/07/18/coronavirus-le-port-du-masque-dans-les-lieux-publics-clos-etendu-a-toute-la-mayenne_6046613_3244.html.
[12] « Coup d’arrêt pour l’hydroxychloroquine en France », Le Monde, 26 mai 2020, https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/05/26/coup-d-arret-pour-l-hydroxychloroquine-en-france_6040812_3244.html
[13] Prof Mandeep R Mehra, « RETRACTED: Hydroxychloroquine or chloroquine with or without a macrolide for treatment of COVID-19: a multinational registry analysis », The Lancet, 22 mai 2020, https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31180-6/fulltext.
[14] « The Lancet annonce le retrait de son étude sur l’hydroxychloroquine », Le Monde, 4 juin 2020, https://www.lemonde.fr/sciences/article/2020/06/04/hydroxychloroquine-trois-auteurs-de-l-etude-du-lancet-se-retractent_6041803_1650684.html .
[15] « Les Décodeurs : Covid-19 : les essais de phase 3 des vaccins sont-ils terminés « depuis des mois », comme l’affirme Olivier Véran ? », Le Monde, 8 juillet 2021, https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/07/08/covid-19-les-essais-de-phase-3-des-vaccins-sont-ils-termines-depuis-des-mois-comme-l-affirme-olivier-veran_6087580_4355770.html.
[16] « Aucun décès «imputable» aux vaccins anti-Covid? Ce que disent vraiment les données », Le Parisien, 19 oct. 2021, https://www.leparisien.fr/societe/sante/pas-de-deces-imputable-aux-vaccins-anti-covid-comment-travaille-la-pharmacovigilance-19-10-2021-G6WPE7EVTJEEJPXGYDH6MRVYXU.php.
[17] PROPOSITION DE RÉSOLUTION déposée conformément à l’article 143 du règlement intérieur sur la création d’un Fonds européen d’indemnisation des victimes des «vaccins contre la COVID-19», 23 sept. 2021, B9‑0475/2021 https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/B-9-2021-0475_FR.html.
[18] « Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial », BMJ 2021; 375 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.n2635 (Published 02 November 2021).
[19] « Tarification à l’acte: la fausse-bonne idée qui a conduit l’hôpital au burn-out », Huffpost, 13 février 2018, https://www.huffingtonpost.fr/2018/02/12/tarification-a-l-acte-la-fausse-bonne-idee-qui-a-conduit-l-hopital-au-burn-out_a_23359548 ; « Jean Castex responsable de la casse de l'hôpital public? Ces soignants inquiets », Huffpost, 4 juin 2020, https://www.huffingtonpost.fr/entry/jean-castex-nomme-premier-ministre-ces-medecins_fr_5f0072dac5b6acab2850f774.
[20] « Olivier Véran s'emporte face à l'opposition sur le prolongement de l'urgence sanitaire », L’Obs, 4 nov. 2020, https://www.youtube.com/watch?v=HGtdRLm64Yc . On n’a jamais entendu des excuses ministérielles pour ce manque d’étiquette.
[21] « Lettre ouverte aux députés contre la prorogation du passe sanitaire et de l'état d'urgence », 17 oct. 2021, https://www.enseignementrecherchelibertes.fr/lettre-ouvertes-aux-d%C3%A9put%C3%A9s-contre-la-prorogation-du-passe-sanitaire .
[22] « Lettre ouverte aux Sénatrices et aux Sénateurs de la République Française contre le projet de loi n°4565 prévoyant la prorogation du passe sanitaire et de l'état d'urgence », 25 oct. 2021,
https://www.enseignementrecherchelibertes.fr/newpage24fd4526 .
[23] « Hôpital public : Jean Castex, énervé, défend le bilan du gouvernement », Public Sénat, 3 nov. 2021,
https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/hopital-public-les-ressources-medicales-c-est-ca-notre-vrai-probleme-assure.