Motion du syndicat ERL !, décembre 2021
* pour la fin de l’obligation vaccinale,
* pour l’abrogation de la loi du 5 août 2021,
* pour la réintégration avec indemnités de tous les personnels suspendus,
* pour la fin des mesures dites sanitaires dans les écoles, collèges, lycées et universités,
* pour l’arrêt de la propagande pro-injection dans les établissements d’enseignement,
* Pour la fin de la politique dite « sanitaire » qui, par ses moyens, ses méthodes et sa communication, porte gravement atteinte à la notion de « consentement libre et éclairé », ainsi qu’à la santé physique et mentale des individus.
Le syndicat ERL !, faisant suite à la motion de Force Ouvrière de novembre 2021 (https://www.fo-fnecfp.fr/wp-content/uploads/2021/11/Motion-obligation-vaccinale-loi-du-5-aout-adoptee-par-220-personnels-syndiques-et-non-syndiques.pdf), et en soutien à celle-ci, déclare :
- rejoindre en tout point la teneur de la motion de FO qui dénonce la suspension des personnels de l’Éducation Nationale soumis à l’obligation « vaccinale » en violation totale du droit du travail et exiger leur réintégration immédiate avec restitution des traitements, le rétablissement de leurs droits et une compensation pour le préjudice causé. ERL ! voit et dénonce dans ces mesures un plan social bon marché qui rend possible le licenciement de fonctionnaires.
- Exiger l’abrogation de la loi illégitime du 5 août 2021, prorogée tout aussi illégitimement par la loi du 10 novembre 2021, votée par une insignifiante minorité de députés (118 sur 577).
- Dénoncer le fait qu’en pleine prétendue « pandémie », en réalité une syndémie, le gouvernement Castex ait fait le choix, inexplicable, alors que le manque de personnel se fait cruellement sentir, de mettre purement et simplement à la porte plusieurs dizaines de milliers de soignants.
- Déplorer que des mesures anti-scientifiques prises en prévention d’une maladie portent gravement atteinte à la santé physique et mentale des individus, en contradiction totale avec la définition que l’OMS donne de la santé, et qui place celle-ci à un niveau supérieur à la maladie.
- Dénoncer les moyens, les méthodes scientistes et la communication apportés à la mise en œuvre des mesures sanitaires qui, outre leurs effets directs et indirects sur la santé physique et mentale des personnes, attaque frontalement un des fondements parmi les plus importants de la défense des individus, le consentement libre et éclairé.
- Ajouter qu’il est temps que les lieux d’enseignement soient débarrassés et protégés du climat délétère et anxiogène régnant déjà à l’extérieur de l’école :
* Le port du masque, inutile et anti-pédagogique, les tests à répétition et la propagande pro-injection génique, ne doivent pas favoriser un apprentissage de la peur et du contrôle permanent, dans un lieu où, bien au contraire, la jeunesse doit apprendre les finesses de l’esprit critique et le recul devant toute forme de manipulation.
* La campagne de communication fondée sur la peur, orchestrée par le gouvernement et les médias, doit pouvoir être questionnée et déconstruite au sein de l’école. Celle-ci doit rester l’outil indispensable d’apprentissage de la démocratie pour la jeunesse, et ne jamais devenir le lieu où est relayée la doxa imposée par le gouvernement.